Chapitre 4 l’adolescence :
Des années passèrent, la mort de la mère de Kekel était pleine de question puisque personne n’a trouvé son corps. Kekel oublia ce que c’était un sentiment. Il devenait froid et s’éloignait des autres. Sa joie de vivre avait disparu. Ainsi disparaissait ses souvenirs même ceux qui étaient les plus marquantes. Il n’entendit plus parler de sa sœur et dans ses souvenirs elle n’existait plus. Les sorciers enseignèrent toutes les sortes de magies qu’ils existaient. Aucun enfant ne voulait parler à Kekel car il fut redouté de tous. Il ne sortait jamais de l’école de magie pendant plusieurs années.
Pour donner un sens à sa vie, il allait chaque jours à la bibliothèque de l’école. Elle était immense en pierre blanche. Les livres étaient étalées sur des étagères de couleurs froides et brillantes. Un vieux lustre éclairait la salle. Chaque pas se fit entendre jusqu’au bout de la salle. Les livres étaient tous des manuscrits écrites à la plume. Un jour, il découvrit un livre de traduction de langue. Il emprunta ce livre pour apprendre la langue des trolls pour s’amuser. Puis, il vit que certaines lettres correspondaient étrangement aux parchemins qui est le seul souvenir qu’il lui reste de sa mère. Il commença à le traduire.
Chaque jour il traduisait une phrase du parchemin puis il commençait à aimer l’histoire du manuscrit. Ce parchemin parlait d’un prince troll élevé par les prêtres d’Arkan dans la cité blanche. Il crut que l'histoire était un conte. Mais une phrase l’intriguait dans le conte : « Quiconque lit les écrits de ce parchemins devra garder le secret qui s’y trouve. »
A l’age de ses 18 ans Kekel s’enfuyait de son école de magie pour y découvrir l’aventure. Il sortit de l’école pour la première puis il allait dans toutes les directions pour sortir du labyrinthe formé par les ruelles. A l’aube il arriva à une grande porte qui s’ouvrit pour laisser passer un homme sur un cheval. Kekel se poussa pour ne pas être sur le chemin du chevalier. Il fut stupéfait de l’armure que le chevalier avait. Elle était si brillante qu’elle reflétait le soleil. Elle avait l’air d’être lourde mais les décorations dessus donnaient l’impression à Kekel que ce personnage était important aux yeux de tout le monde. Kekel repris ensuite ses esprits pour sortir de la cité.
Les portes commençaient à se fermée et Kekel eu peur de rester encore dans la cité. Il courut pour essayer de s’échapper de la grande prison avec des ruelles formant un labyrinthe. Mais les portes lourdes furent fermées. Une grande tristesse se lisait dans ses yeux. Il frappa donc à la porte mais elle ne bougeait pas. Il commençait à paniquer puis il entendit une voix.
« Hé ho. Pouvez-vous m’ouvrir la porte ? »
Pendant un moment il crut que c’était une personne qui était dans la cité et regarda autour de lui et il vit qu’un rat passer. Il pensait qu’il devenait fou pour entendre les rats parler. Puis la voix s’exclama encore.
« Bon sang, vous ouvrez oui ! J’aimerais bien entrer. »
Kekel prit l’occasion et utilisa pour la première fois ces pouvoirs hors de l’école. Il utilisa le sort miroir avec aisance et se retrouva enfin dehors. La voix gémissait de frayeur et réveilla toute la cité. Puis Kekel goûta enfin la liberté.